
- Lîlot Leurres de Romain Rambaud créé l’an dernier.
- De bords à corps de Julien Laforge en 2017.
Jusqu’au 20 octobre prochain, les Hortillonnages d’Amiens sont le lieu de leur 10ème édition du Festival international de jardins hortillonnages Amiens, la nouvelle dénomination de ce qui s’appelait auparavant le festival Art, villes et paysages. Un parcours composé de 50 oeuvres, des installations plastiques et des jardins imaginés par de jeunes artistes, des paysagistes, des architectes, des plasticiens sensibles à la valorisation des milieux naturels. Le meilleur moment sans doute pour découvrir ces exceptionnels jardins flottants amiénois.
A parcourir à pied sur l’île aux Fagots en libre accès ou en barque proposée à la location pour les parcelles de l’étang de Clermont.
- La chambre des lisières de Solène Ortoli, réalisée l’an dernier.
- Le Black Ship de Julia Cottin, installé en 2018.
- Les Waders de Stéphanie Cailleau.

Les carrés fertiles créés en 2018 par l’Atelier de l’Ours, Virginie Piercy, Nicolas Jeanmonod et Juliette Guénard.
- Une houblonnière jardinée, Small is beautiful, par l’Atelier du Gründberg, Yvan Cappelaere, Mylène Andreoletti et David Bellamy.
- Une installation de Bordet-Chavanes-Brégeon-Laskowski.
LES JARDINS DE LA PAIX
A voir aussi dans les Hauts de France, région qui fut très meurtrie par la guerre de 14/18, tout un parcours de Jardins de la paix déployés dans les 5 départements de la région ces deux dernières années. Un circuit de mémoire dans des lieux qui furent des champs de bataille où combattirent des soldats du monde entier, les Européens, et aussi des Australiens, des Canadiens, des Néo-Zélandais… Ces Jardins de la paix ont été confiés à des paysagistes venus de tous ces pays. Ils ont commencé à naître à l’automne 2018, pour le centenaire de la signature de l’armistice qui mis fin à cette boucherie.Où les voir ?
A Craonne dans l’Aisne. Un jardin allemand, un jardin italien et un jardin marocain sur les vestiges du village martyre.
Dans l’Oise, à Compiègne, forêt de l’Armistice, un jardin franco-allemand.
Dans le Nord, à Cambrai, un jardin franco-britannique et au Quesnoy, un jardin belge et néo-zélandais et un jardin portugais.
Le Pas-de-Calais accueille 6 jardins: un jardin écossais à Arras, un jardin polonais dans les environs de Lens, un jardin tchèque et slovaque à Neuville-Saint-Vaast, un jardin franco-belge à Neuville-sous-Montreuil, un jardin français à Notre-Dame-de-Lorette et un jardin canadien à Vimy.
Il y en deux dans la Somme, un jardin irlandais et nord-irlandais à Péronne et un jardin gallois et un jardin anglais à Thiepval.
Passchendaele en Belgique accueille un jardin français.
- Thiepval dans la Somme, le jardin gallois, A travers la forêt à la légère.
- Toujours à Thiepval, le jardin anglais, Pax Dryades.
- Peronne, dans la Somme, le jardin irlandais et nord-irlandais au pied des remparts, Le jardin d’Eutychia.
- Au Quesnoy dans le Nord, le jardin néo-zélandais, Rangimarie.
- A Compiègne dans l’Oise, forêt de l’Armistice, le jardin franco-allemand, Le jardin du troisième train.
- Vimy, Pas-de-Calais, image du projet de jardin canadien.
