L’indonA�sien prA�sente un systA?me de conjugaison trA?s simple, les temps passA� et futur na��existent pas. Olivier Baco sa��interroge sur les liens entre cette langue et la��art de vivre de ce peuple qui semble si intensA�ment vivre le prA�sent.
Olivier Baco est nA� en 1979 et a A�tudiA� le cinA�ma et la photographie A� Paris. Il conjugue ensuite son travail da��assistant photographe pour Paolo Roversi avec les applications et recherches en sciences humaines du Centre da��auto-analyse anthropologique.Auteura��photographe depuis 2004 ses travaux personnels le conduisent A� sa��intA�resser aux phA�nomA?nes de sociA�tA� et particuliA?rement au prA�dA�terminisme social. Eclectique dans ses recherches et crA�ations il collabore et travaille pour le secteur de la mode, la��automobile et comme reporter.
En 2011 il voyage pour la premiA?re fois en IndonA�sie et dA�cide de sa��y installer pour deux ans. Il y crA�era Moods Agency, une agence de communication visuelle multidisciplinaire.
Galerie
Ca��est un sourire qui ma��a accueilli A� Bali, ce sont des sourires qui ma��y ont retenu.
Ja��ai si souvent entendu des compatriotes A�voquer ce mA?me plaisir A� dA�couvrir une ile bienveillante et joyeuse que ja��ai voulu y rester pour tenter de comprendre les fondements de cette joie de vivre.En Europe et dans mon travail ja��ai appris A� construire, A�laborer, me projeter; avec parfois cette impression de ne plus savoir vivre et apprA�cier la��instant.
Ja��ai pensA� qua��il me fallait ici dA�sapprendre pour rA�apprendre, quitter une idA�ologie pour ma��approcher da��une autre et peut A?tre ainsi sourire plus souvent A� la vie.Ca��est ainsi que sont nA�es ces photos, sans prA�mA�ditation : dans la��instant.
Au grA� de mes dA�placements en moto, voiture ou bien A� pied ja��ai laissA� venir A� moi la vie. En sont nA�es des photographies de paysages aux allures contemplatives et des scA?nes de vie emplies de joie et de quiA�tude.
Plus tard, muni da��un tissu noir et da��un flash ja��ai voulu ma��approcher de mes voisins, scruter leurs traits sans mise en scA?ne et me laisser submerger par la profondeur de leurs regards : fiers, profonds et gA�nA�reux.
Galerie / Les portraits
Carte virgara sales.
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